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21 juin 2007 4 21 /06 /juin /2007 23:27


Personnage emblématique d'époques reculées, tu traverses le temps...
De tes pamphlets satyriques, tu défigures à outrance toutes les parures
Pour mieux faire jaillir l'absurde de la réalité sous tes carricatures
Bouffon irraisonné qui démaquille sans pitié les plus grands
De tes délires sarcastiques sortent les évidences qu'on se cache
Comme des mensonges admis qu'on ne remet plus en doute
Mais tu trahis sans vergogne ces manipulations dans tes joutes
Gare à ceux qui croisent ta route et s'en détachent...

Fou du roi, tu laisses loin derrière les allégations de démence qui t'identifient

Sous tes travers de simple d'esprit, tu te prosternes devant la raison
Cette raison du plus fort, qui étouffe nos sursauts de rebellion
Par un pouvoir absolu qui nous enferme dans nos incertitudes bannies
Aveuglés par des flots de paroles qui nous envoûtent
On oublie notre libre arbitre dans des lavages de cerveaux
Qui nous empêchent de saisir très nettement tous les scénarios
Nos oreilles semblent sourdes, confrontées à ton ironie, qui écoute...

Ton rôle de simplet paraît loin de celui des stars de la grande affiche
Pourtant ton rôle à toi, plus discret, est le plus indispensable
Bouffée d'oxygène quand, tout, autour de nous, rend l'air mal respirable
On pensait que rien, jamais, ne pourrait sortir de ton esprit en friche
Mais les sols les plus fertiles doivent leur rendement au repos de la terre
Tes pensées courent aussi vite que des rayons de lumière
Quand de quelques bons mots savamment orchestrés, enfin tout devient clair
Et que ton jour meurtrit ainsi les hypocrisies de ses aurores guerrières...

Protégé par ton immunité derrière ton loup de pitre attardé

Sous ton bonnet d'âne à clochettes rugissent des torrents arides
Qui déshabillent sans répit les machinations sordides des esprits bien lucides
Qui obscurcissent la face du monde de leurs flagorneries cachées
Tu dévoiles en place publique les répétitions de coulisse
Tu vois le monde à travers un prisme aux facettes qui dépoussièrent
Quand de tes mots lourds et cruels tu nettoies tous les cimetières
D'un coup d'éponge déconcertant sur des murs que tu détapisses...

Pauvre fou en perdition qu'on montre du doigt pour le blâmer
Tes prédications semées au vent, font changer le cours du temps
Par leur accent de ridicule, qui éxécute au pilori les plus bêtement intelligents
Tu le sais bien, au fond de toi, avec ta raison d'aliéné,
Que tout se joue dans tes paroles inutiles qu'on juge sans danger

Tu le sais bien qu'il te faut ce regard un peu hagard
Pour qu'on se regarde un peu dans le miroir
Et qu'enfin grâce à tes éclairages clairvoyants, on puisse rire de toutes nos cécités...


L.W.


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21 juin 2007 4 21 /06 /juin /2007 01:33

Johann Wolfgang von Goethe



Il y a une citation de Goethe (1749-1832), que j'apprécie énormément, et que je voudrais vous faire partager...
Elle dit :

" Dès que nous prenons un engagement ferme, des évènements positifs commencent à se réaliser.
Tant qu'il n'y a pas d'engagement, il y a hésitation, il y a possibilité de reculer et il y a toujours de l'innefficacité.

Pour tous les actes d'initiative et de création, il existe une vérité élémentaire -- l'ignorer détruit des idées magnifiques et des plans superbes.
La voici : Dès le moment où l'on prend un engagement ferme, la Providence commence aussitôt à agir. Toutes sortes de choses se produisent alors pour nous aider -- qui ne se seraient pas produites autrement.

Une série d'évènements prend naissance à partir de cette décision, qui créent en notre faveur une multitude d'incidents imprévus, de rencontres et d'assistance matérielle tels que nous n'aurions jamais pu imaginer.


Peu importe ce que vous pouvez faire ou rêvez que vous puissiez faire, commence-le !

Il y a du génie dans l'audace, de la puissance et de la magie aussi !"




Et puis pour renforcer un peu la motivation, Paulo Coelho, dans l'Alchimiste :
" Ne renonce jamais à tes rêves, avait dit le vieux roi. Sois attentif aux signes."
(......)
" Lorsque tu veux vraiment une chose, tout l'univers conspire à te permettre de réaliser ton désir", avait dit le vieux roi...


Tout ça rejoint totalement la pensée positive et la pensée créatrice...
Je développerai un autre jour, il est tard ce soir...
Méditez là-dessus, sérieusement :

Si vous vous sentez à l'étroit dans votre vie...
Est-ce que ... par hasard ou par nécessité... vous n'auriez pas renoncé à vos rêves ?... ...

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18 juin 2007 1 18 /06 /juin /2007 23:42


"A quoi bon soulever des montagnes,
Quand il est si simple de passer par dessus ?"

Boris Vian ( par ici...)



En vérité, il faut bien l'admettre, nous adorons nous compliquer la vie... Même le progrès, ça complique souvent la vie.
Ce qui importe, c'est la façon d'examiner le problème, l'angle de vue qu'on adopte. On trouvera des solutions différentes
suivant les détails sur lesquels on s'arrêtera.

Parfois c'est le temps qui nous permet d'appréhender mieux la situation, en permettant à la réflexion de trouver un autre chemin à emprunter, que le premier qui était venu à l'esprit...
D'autres fois c'est l'expérience, la réplique d'une situation déjà vécue qui nous permet de savoir contourner l'obstacle, plutôt que d'avoir à lutter contre les éléments...

Il y a aussi une certaine fierté, une certaine gloire à avoir soulevé une montagne, un exploit digne des grands héros. C'est cela, c'est peut-être par goût de l'héroïsme que nous cherchons cela.
On sent la fougue et la force de la passion, réunies pour vaincre contre l'obstacle. On sent la puissance et la rage de vaincre dans la visualisation d'une montagne soulevée et jetée au vent...



Alors que passer par-dessus une montagne, c'est commun, ça manque de distinction. On peut résumer ça au mieux, en un exploit sportif d'alpiniste confirmé, mais en aucun cas ça ne fait rêver, aucune énergie volatile ne s'en dégage. C'est une visualisation non vibrante...

Alors... peut-être faut-il continuer à vouloir soulever des montagnes, parce que rêver, ça fait vivre en plus grand, ça projette sur grand écran tous nos désirs de grandeur et d'immensité...
Et pour la routine... il suffit de rouvrir les yeux, et d'observer tous les alpinistes alentours, qui s'encordent à leurs vies...


Peut-être qu'ils ont raison... Peut-être qu'ils ont tort...
Peut-être que l'on n'a jamais ni tort ni raison dans ce genre d'histoire...
Allez savoir...

Avez-vous déjà essayé de soulever une montagne ?
...


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18 juin 2007 1 18 /06 /juin /2007 23:22


"Même lorsque l'on croit que l'on n'attend plus rien,
nous attendons toujours quelque chose ou quelqu'un..."

Charles Aznavour ( juke box...)




Bien sûr que nous attendons toujours quelqu'un ou quelque chose...
Si l'on n'attendait rien, on mourrait...

Certains attendent des choses impossibles, et se torturent ainsi la vie à rêver de chimères, au lieu d'oeuvrer à un bien être accessible, dont ils seraient partie prenante.
D'autres croient que tout ce qu'ils attendent ne peut leur être apporté que par quelqu'un, alors ils attendent ce sauveur, qui peut prendre la forme du prince charmant, de Dieu ou d'un parfait point d'interrogation.
D'autres encore croient qu'ils n'attendent rien, ils vivent leurs vies sans trop se poser de questions, comme un passage obligé, sorte d'étape qu'ils subissent ou supportent, inconscients qu'ils sont que leur sort pourrait être grandement amélioré, s'ils laissaient la sève qui coule en eux, monter dans leurs esprits, et fleurir leurs espoirs...

Il est parfois difficile d'admettre que l'on attend quelque chose ou quelqu'un.
L'orgueil tient à sa place, et rejette l'idée de souffrance ou d'insatisfaction.
Mieux vaut ne rien attendre, cela semble anesthésier la souffrance, mais l'anesthésie ne soigne ni ne guérit. Elle endort le corps et l'esprit pour les rendre insensibles, mais n'apporte aucun réconfort.
Mieux encore, c'est toujours au réveil de l'anesthésie qu'on a le plus mal...

L'anesthésie se fait parfois en douce, sans qu'on s'en rende compte, et du coup lorsque ce quelque chose ou ce quelqu'un se manifeste, notre état de somnolence manifeste, a peine à distinguer ce qui se passe...

Mais, au fond de nous, on a tous cette attente. C'est elle qui nous fait vivre et nous motive pour avancer. On y croit tous à la lumière du bout du tunnel.
On y croit tous à l'amour même s'il n'est pas éternel. On croit tous à la vie, même si certains s'en gardent. On croit tous en l'avenir, car jusqu'à présent, le soleil s'est toujours levé au bout de la nuit...

Et si ça se trouve, c'est moi que vous attendiez, non ?... ...


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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 22:31

"L'amant ? On le case là, entre la nuit et le jour, entre le lit et la cour, entre le mari et l'amour... C'est la passager clandestin d'une vie sans destin."
Jérôme Touzalin ( visite...)




L'amant est être à part... Nous sommes tous des amants et des amantes, car il faut bien l'avouer, la fidélité est une utopie. Il peut y avoir une fidélité physique, mais la fidélité du coeur, peut-on jamais pouvoir la contrôler ?

Il est facile de maîtriser le corps physique, mais quand il s'agit de ressentir plus profondément les choses, on finit toujours par vaincre, à force de combat contre soi-même ce sentiment, mais c'est plus difficile...
Et ce temps donné en pensées à quelqu'un, n'est-il pas aussi temps infidèle ? Que ceux qui n'ont jamais songé à tromper en pensée leur conjoint, me jette la première pierre... Je n'ai rien à craindre...
Et puis, c'est idiot, la fidélité, c'est contre-nature !


Bien sûr, il faut savoir pourquoi l'amant apporte quelque chose de plus... Pas de plus d'ailleurs... de différent. On n'y recherche pas la même chose. Y recherche-t-on quelque chose d'ailleurs ?


Il y a des gens qui sont faits pour se rencontrer, faire quelques pas ensembles sur le chemin, histoire de passer le temps, et puis qui se quittent comme ils se sont trouvés, chacun de son côté...
L'amant est un passant de la vie, comme vous et moi, un passant qui se promène dans notre vie à un moment ou à un autre... Peut-être ce fameux moment où l'on a besoin de vivre selon soi, selon ses propres codes, sans vouloir penser à autre chose... qu'au moment présent
.


Mais la relation est difficile à vivre par ses contraintes... C'est peut-être pour ça qu'elle est si puissante, sûrement des relents de goût de l'interdit...
Oui ! Il y a quelque chose d'enfantin dans la relation adultère, le goût du secret, l'importance de l'instant...
Et tant pis pour ceux que ça peut choquer, mais se priver de ressentir ces choses, c'est idiot.... La vie est courte !


"Entre le mari et l'amour", c'est une belle formule... J'aurais aimé l'écrire... C'est tout à fait ça...
Et à quoi ça sert, me direz-vous ?... Ben à rien, ça ne sert à rien du tout, mais...


Pourquoi faudrait-il toujours que tout serve à quelque chose, hein ?... ...

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 22:08

"Si un jour, tu te sens inutile et déprimé, souviens-toi : un jour tu as été le spermatozoïde le plus rapide du groupe !"
(citation glanée sur le net...)




Nous sommes donc tous des gagnants, puisque nous avons réussi le test de sélection, un sur plusieurs milliers... De quoi se choper la grosse tête... même si c'est par la vitesse de propulsion de tout son corps que le petit spermatozoïde a gagné le combat...
La lutte pour la vie commence avant la vie...

Mais... où commence la vie ? Est-ce que ce spermatozoïde, c'est déjà nous ?


Il lui faut quand même trouver un foyer accueillant pour s'y épanouir et grandir...
A lui seul, qu'est-il donc ? ... Surtout si, condamné à cet enfermement, il ne quitte jamais ses bourses natales ...

Mais laissons ces considérations biologiques là où elles se trouvent, et restons tournés vers la philosophie. C'est vrai qu'on a tous des petits coups de blues... L'utilité, l'inutilité de la vie sont des interrogations bien trop vastes pour nos petits cerveaux. On y apporte chacun les réponses que l'on peut, que l'on veut... Certains jours elles nous satisfont, d'autres pas...
Et la vie suit son cours. On a de temps en temps, besoin de se raccrocher à quelque chose. Alors pourquoi pas à cette constatation ?

Peu importe sa véracité, si elle nous réconforte. nous met l'esprit dans une bien meilleure disposition pour L'humour contenu dans ces quelques motsvoir les choses autrement, et se sentir fort et grand.
Parce que, finalement, au regard du monde, et des milliards d'êtres humains qui l'habitent, nous ne sommes pas plus importants, individuellement, qu'un spermatozoïde perdu parmi ses copains...

Et cette analogie, cette vision de notre première victoire, peut sans doute, nous donner la force de continuer à livrer d'autres batailles, parce que l'on sait dès lors que la victoire est possible.

Si on a réussi à gagner une fois, on sait que c'est possible... Et si c'est possible, alors on peut le refaire si on y emploie l'énergie nécessaire, non ?

Comme dirait le bon docteur Schüller : "Tout est possible"...

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 22:42


"Il est temps de vivre la vie que tu t'es imaginée..."



A toujours remettre à plus tard, on ne voit pas le compteur tourner, et les jours qui défilent. Le temps qui passe, qui passe et qui se perd dans des instants fugaces. Cette obsession du temps qui passe, sans qu'on puisse ni le retenir, ni le maîtriser...

Se projeter dans le temps, c'est comme se projeter dans le vide, dans un grand néant d'inconnu, mystère d'une vie qui s'écoule... Et l'on projette ses rêves, ses illusions, ses peurs, vers demain, et après-demain, et les jours qui viendront encore à la suite.

On rêve sa vie en couleurs ou en noir et blanc, suivant les humeurs du temps.
Mais rêver n'est pas vivre ! Rêver s'arrête aux portes du présent quand la réalité approuve, ou au contraire, relègue loin, nos désirs et nos envies...
Rêver est toujours un acte de projection qu'on en soit, ou non, conscients...


Vivre la vie qu'on s'imagine... Vivre la vie comme on la souhaite...
Et qu'est-ce qui nous en empêche ?

Tellement de choses, me diras-tu...
En vérité, non, pas tant de choses. Mais la principale, notre plus grand obstacle, c'est un manque de courage, car pour être heureux, il faut du courage.
Non pas que ce soit difficile à porter le bonheur... non... C'est d'adopter l'attitude qui mène au bonheur qui demande du courage, l'attitude qui consiste à oser croire en soi, oser revendiquer d'être qui l'on est, et d'avoir des valeurs auxquelles on croit même si elles paraissent folles, désuettes ou utopiques.

Revendiquer son droit à n'agir qu'en accord avec soi-même, et de ne pas céder à la facilité qui consiste à survivre, en toute conformité avec le modèle de masse imposé, véhiculé en partie par les médias...


Il faut cesser d'imaginer notre vie pour vivre tout simplement nos rêves...

A méditer avant de s'endormir...

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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 11:17


J'ai vu par hasard hier l'émission "le droit de savoir" consacré aux troubles du comportement alimentaire (enfin seulement la première moitié sur l'anorexie et les pro ana, après j'ai sombré dans le sommeil).
J'ai été choquée de découvrir ces fameux "pro ana" qui encouragent la maigreur extrême jusqu'à mettre sa vie en danger pour avoir le poids le plus minimaliste possible. Quand ces pro ana sont adeptes de cette façon de s'alimenter pour leur propre plaisir personnel, passe encore, nous sommes tous responsables de nos choix de vie, mais quand il s'agit de professionnels de l'image qui conseillent ce mode de fonctionnement à des jeunes filles en recherche d'elles-mêmes, je trouve que c'est pratiquement assimilable à un crime contre personne.
Comment peut-on exiger de quelqu'un une malnutrition extrême ?


Toutefois, en réponse à cette nouvelle mode, l'obligation d'atteindre un certain IMC (Indice de Masse Corporel) est toute aussi idiote. On doit sans cesse correspondre à des standards normalisés, et ne pas trop s'en écarter, mais avant tout cela il y a le bien être personnel. On peut très bien vivre avec un IMC en-dessous de la mesure sans avoir aucun problème de santé, ou au-dessus en s'y sentant parfaitement épanoui malgré les bourrelets...

Le problème actuel dans nos vies est qu'on donne beaucoup trop d'importance à l'image plutôt que de s'intéresser à la personne. L'essentiel est de se sentir bien dans son corps. Nous avons tous un poids idéal que nous ressentons comme étant celui qui nous va le mieux, et tous les chiffres ne peuvent rien y changer. A partir du moment où le fait de préparer un repas devient un casse-tête mathématique pour répartir les calories que nous voulons ingérer, on peut se demander s'il reste un plaisir de manger. Que l'on pèse ses aliments en vue de grossir ou en vue de maigrir ne change pas le côté contraignant de l'affaire !
Il faut cependant reconnaître que nous ne sommes pas tous égaux devant les kilos, certains prennent du poids en ne mangeant pratiquement rien là où d'autres peuvent avaler tout ce qu'ils veulent. Mais c'est un principe fondamental qu'il faut assimiler : la vie n'est pas juste !...
Reste à savoir si on veut la vivre dans la contrainte ou dans l'acceptation de ce que l'on est ?...

L'effet esthétique est toujours discutable, tous les goûts sont dans la nature, et cela est vrai au niveau de l'esthétique physique. Certains préféreront montrer leurs os, d'autres leurs formes. Personne n'a raison, personne n'a tort à partir du moment où l'on respecte son corps, qui immanquablement enverra des signaux quand il se sentira en danger. Le corps finit toujours par réagir et par dire stop aux excès, dans un sens comme dans l'autre.
Il est inhumain de se priver de nourriture pour ressembler à une image, tout comme il est inhumain de se gaver comme une oie pour les mêmes raisons.
En revanche, il n'est pas utile à mon goût de vouloir correspondre aux mesures d'IMC à tout prix, parce que le corps scientifique a décidé de ce qui devait être bien ou mal. Je suis moi-même en-dessous de l'IMC relatif à mon rapport poids/taille sans être anorexique, ni en proie à l'angoisse alimentaire. Je n'ai jamais fait de régime. Je mange tout ce que je veux, et la gourmandise fait partie intégrante de ma vie. Je n'ai même jamais atteint ce fameux IMC, parce que mon poids me convient tant dans la silhouette que dans ma tête. Et puis il est normal d'avoir des variations de quelques kilos selon les saisons. Nous mangeons différemment l'été ou l'hiver.
Manger est une action qui doit rester naturelle et spontanée. S'il est raisonnable de survei ller son poids pour des raisons de santé, il n'est cependant pas normal d'en faire une obsession au cours de la journée.

La valeur d'une personne est-elle proportionnelle à son poids ?... ...


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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 15:33


Qui aurait pu imaginer
Qu'on puisse mettre autant de temps

Autant de temps pour se trouver
Un chemin pour se sentir devenir grand...
Si on m'l'avait dit avant,
J'l'aurais certainement pas crû
Si on m'l'avait dit enfant,
Peut-être même que je n'serai pas venue...

La vie semble bien monotone
Quand on la vit au ralenti
Quand on y compte les automnes
Sans ressentir assez le soleil qui luit...
La vie ressemble à un monochrome
Quand on fuit les dénivelés
De peur des hématomes
Voyant dans les platitudes, de quoi s'apaiser...

On comprend toujours trop tard
L'imortance du temps qui passe

Et quand on veut rattraper le retard
On voit que le temps a effacé les traces...
On comprend tellement de choses trop tard,
Qu'on regrette à l'avance l'avenir
En se disant que ce foutu hasard
Parfois nous fait bien souffrir...

Et puis à force de se retourner
On attrape un fâcheux torticolis
Qui nous pousse à ruminer
Et qui fait qu'on oublie...
Qu'on oublie que le temps qui compte
Reste toujours celui qui vient
Et non celui de ses hontes
Que c'est toujours devant... le chemin...

Alors enfin on comprend...
On comprend tellement mieux
Qu'il faut savoir oser
, même indécemment
Avant d'être carrément vieux
Et de ne même plus en avoir l'envie...
Qui aurait pu imaginer...
Qu'on se rencontrerait ici...

A cette heure impossible de réalité...

L.W...

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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 15:22


Il arrive un temps dans la vie, où on apprend... la différence
Entre tenir la main de l'autre et l'enchainer à soi

Un temps où l'on apprend que l'amour
Ne signifie pas, se soulager de tout souci sur l'autre
Et que la compagnie n'est pas toujours une garantie contre la solitude

Un temps où on apprend que les baisers,
Ne sont que des cadeaux, ne sont pas des promesses

Il arrive un temps dans la vie où on apprend à accepter
Ses échecs en gardant la tête haute et les yeux ouverts
Où on apprend à bâtir notre vie dans l'instant présent
Parce qu'on ignore si on sera toujours là demain...

Il arrive un temps dans la vie où on apprend
Que même le soleil brûle si on abuse
Alors travaillons à décorer notre jardin intérieur
Au lieu d'attendre que quelqu'un nous offre des fleurs

Il arrive un temps dans la vie où on apprend...
La souffrance, la peine, l'absence...
Mais où on apprend qu'on a en soi,
La force d'y faire face.

Il arrive un temps dans la vie où on découvre... ce que l'on vaut vraiment...
Et on continue d'apprendre... avec chaque abandon, chaque perte...
A chaque départ, on apprend...


Glané sur le net, pas d'auteur référencé....
En parallèle, cet autre texte, qui dit à peu près la même chose...



Les leçons de la vie


Après un certain temps, tu apprends la différence
Entre tenir la main d'un ami et l'enchaîner.

Tu apprends que l'amour, ne signifie pas se reposer sur quelqu'un
Mais lui apporter un soutien.

Tu commences à accepter tes défaites avec la dignité d'un adulte
Et non le désespoir d'un enfant.

Tu décides de construire ta vie au jour le jour, parce que...
Les lendemains sont trop incertains.

Tu aides à semer un jardin,
Plutôt que d'attendre que l'on t'apporte des fleurs...

Le net fourmille de petits textes comme ça, souvent on n'a pas retenu des auteurs que ces quelques mots, mais je remercie ici, tous ceux qui de temps en temps, jettent leurs petites réfexions, qui parfois nous font tant de bien... ou au moins nous poussent à méditer sur autre chose que le malheur du monde ou la crise inflationniste...

Y a pas de honte à se faire du bien...

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