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29 juin 2007 5 29 /06 /juin /2007 00:13


" Les gens construisent trop de murs et pas assez de ponts."

Isaac Newton

 


La citation n'est pas nouvelle, elle a traversé les âges, et semble pourtant tellement plus vraie aujourd'hui qu'à l'époque...
Comment peut-on continuer à vivre dans cette direction d'égoïsme et d'individualisme forcené qui nous conduit immanquablement vers la ruine ?
On s'emmure tous pour se protéger de notre peur de vivre
, parce que la vie devient de plus en plus sans buts et sans avenir ...

On manipule des concepts, des idées, et des réalités virtuelles à tour de bras, mais on ne peut pas regarder en face la misère du monde et notre propre décadence.
Nous avons vécu l'heure du progrès grandissant et avec lui, l'espoir d'une vie meilleure, mais qu'avons-nous gagné ?

Un home cinéma flambant neuf high-tech pour regarder en dolby et en stéréo les gens se faire la guerre et crever de faim et d'indignité aux quatre coins de la terre ?


Je suis en colère parfois contre le monde entier, peut-être même pas en colère, seulement dégoûtée, écoeurée... Mais je ne vaux pas mieux que les autres parce que je ne fais pas grand chose pour changer tout cela. Je n'ai pas de solution miracle à proposer si ce n'est de cesser de croire qu'on a forcément raison de penser ce que l'on pense et que l'autre, en face, par voie de conséquence, a obligatoirement tort...
C'est notre regard sur la vie qui doit changer. Tant que le monde appartiendra à quelques puissants qui se partagent notre sueur pour remplir leurs jacuzzis sans jamais se soucier d'autre chose que de l'intensité des bulles d'air qui les massent, le monde ne pourra pas tourner rond...
Tant que la valeur d'un être humain sera jugée sur l'apparence plutôt que sur le fond, les murs resteront en place.



Les ponts relient deux points qu'il serait impossible de joindre autrement... Seuls les hommes peuvent construire ces ponts, ils n'apparaîtront pas, par miracle, un jour....
Nous sommes les hommes, nous sommes les bâtisseurs de la vie. Nous savons si bien donner la mort et la souffrance, pourquoi n'arrivons-nous pas à comprendre qu'elle nous empoisonne à petit feu, tous... parce que tant que la haine sera la plus forte, nous vivrons dans la peur, l'indifférence à la souffrance de l'autre et l'individualisme.


Nous traitons mal la planète. Nous traitons mal les enfants. Nous traitons mal les personnes âgées. Nous traitons mal les animaux.
Nous nous traitons mal les uns les autres pour des tas de raisons, et l'on vit dans l'illusion que tout va bien... Il y a quand même des jours où il faudrait qu'on regarde autre chose que notre propre nombril, non ?

Mais quand on parle de notre responsabilité individuelle dans tout cela, qui écoute ?... ...

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28 juin 2007 4 28 /06 /juin /2007 23:45


" Le suicide, c'est l'impossibilité de vivre les cinq prochaines minutes..."
Auteur Inconnu

 


Le suicide est un vaste sujet, presque un peu tabou, même si l'on a changé notre regard sur celui-ci ces dernières décennies. En effet, il a longtemps été vu comme un péché, du fait de l'interdiction religieuse de mettre fin soi-même à ses jours.
Aujourd'hui, on peut aborder le sujet de façon un peu plus ouverte... L'ombre de la honte planne toujours un peu sur ceux qui ont pu faire des tentatives de suicide (que l'on nomme désormais "TS", comme si cela changeait la valeur de l'acte en changeant de vocabulaire...).

Pourra-t-on jamais dire si le suicide est un acte de courage ou un aveu de faiblesse ?
Qui pourrait trancher sur cette question épineuse ?
Et pourquoi ce sentiment de honte ?
 Ce qui conduit la plupart des gens au suicide, c'est une souffrance telle que la seule issue qui leur semble possible pour que celle-ci cesse, est de cesser de vivre...
C'est l'absence totale de solutions envisageables pour améliorer une situation qui mène à décider d'arrêter de vivre, non ? ...
Il me semble que la plupart des gens en mesurent la portée lorsqu'ils attentent à leurs jours... Il s'agit rarement d'un acte irréfléchi... Peut-être pourrait-on dire, que la réflexion a été mal menée, mal aboutie, mais il y a généralement eu réflexion avant.

L'impossibilité de vivre les cinq prochaines minutes, c'est une bonne définition... et le suicide est vu comme une délivrance.
A-t-on le droit de juger de l'importance de la souffrance de quelqu'un ?
La souffrance, c'est la souffrance, existe-t-il une échelle d'intensité graduée, un peu sur le modèle de l'échelle de Richter pour les tremblements de terre, qui permettrait de valider ou non, la souffrance légitimement reconnaissable, d'une souffrance d'importance moindre qu'il faut savoir surmonter ?

Acte de courage ?
Je répondrai par l'affirmative pour plusieurs raisons.
D'abord, pour ceux qui choisissent des morts violentes, il faut quand même avoir le cran (ou un insondable désespoir) de se jeter sous un train, ou d'un immeuble, parce que ça doit être douloureux, même si c'est bref...
Le courage aussi, parce que même dans le suicide, il y a le risque d'échouer,
et donc de devoir exposer ensuite son mal être et ses blessures, alors même qu'on les cachait...

Le courage d'abandonner ce que l'on connaît, même si c'est empreint de souffrance, pour l'inconnu de la mort...
Et enfin, le courage d'exprimer de façon significative la dureté de la vie... et la petitesse d'un homme...

Aveu de faiblesse ?
Qui peut décider de ce que nous devons supporter, jusqu'où et pourquoi ?
Nous avons tous nos seuils de tolérance à la souffrance, mais doit-on blâmer celui ou celle qui a un seuil de tolérance moindre ?
Le suicide c'est la voie de ceux qui ne veulent plus lutter.... Alors un peu comme ces joueurs qui lâchent la partie du jeu avant la fin de peur de perdre, doit-on les traiter de mauvais joueurs, de mauvais perdants ? Mais qui a fixé les règles du jeu ?
Faible est celui qui n'a plus la force pour le soutenir après s'être longtemps battu, à qui est la faute ? Un manque de volonté ? Des épreuves trop dures ? ...

Personne ne pourra jamais répondre à cette question, parce que chaque cas est unique et personnel, et aucun de nous n'a le droit de juger d'une décision aussi difficile à prendre...
Il n'en reste pas moins que le suicide est l'expression la plus absolue de notre liberté d'être humain, en nous octroyant le droit de décider de notre vie ou de notre mort...

Faisant écho à cela, il y a la question de l'euthanasie dans le cas de malades qui souffrent sans espoir de guérison, qui demandent à mourir parce qu'ils ne peuvent pas mettre fin à leurs jours eux-mêmes, par leurs propres moyens...
Est-ce humain de les laisser dans cette souffrance au nom de l'éthique ? Est-ce humain de les tuer ?
Comment peut-on être sûr que c'est bien l'expression de leur choix propre ? Peut-on, en tant que médecin, tuer un être humain dans le cadre légal de son travail ?


La vie est déjà bien compliquée, faut-il que la mort le soit plus encore ?...
 

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27 juin 2007 3 27 /06 /juin /2007 00:21


" Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé."
Bouddha


Beaucoup trop de gens pensent que leur vie est une suite d'évènements, de hasards et d'épreuves, et remettent ainsi aux mains d'on ne sait quel maître de l'Univers leur destin, acceptant la vie comme elle vient, sans penser un seul instant qu'ils en sont les principaux artisans, chaque jour de leur existence, par leurs actes, leurs paroles, leurs pensées et leurs émotions ressenties ou refoulées... Il est certes par ailleurs, beaucoup plus facile de se déresponsabiliser en pensant de cette façon, plutôt que d'accepter le fait que nous construisons nous-mêmes notre vie, et tous les évènements qui s'y produisent...

Or, rien n'est plus La pensée est généralement considérée comme un acte spontané, incontrôlé et incontrôlable.faux. Nous pouvons à tout moment choisir d'orienter nos pensées dans telle ou telle direction. Nous ne sommes pas les jouets d'une machination cognitive quelconque, mais véritablement les dirigeants d'un formidable outil.
L'affirmation peut paraître péremptoire de prime abord, toutefois dès que l'on s'intéresse un peu au sujet, en toute neutralité, et qu'on en teste les possibilités, on s'aperçoit que la pensée est un champ de possibilités illimité, que l'on peut y semer toutes les graines que l'on veut, en positif comme en négatif, et qu'elles ne manqueront pas de germer et de porter leurs fruits, si y on apporte tous les soins nécessaires....


Alors une fois acquis ce fonctionnement de base, il nous apparaît comme une évidence, que oui, effectivement, nous sommes le résultat de nos pensées... C'est pour cela qu'il faut bien choisir les pensées que l'on entretient, puisque d'elles, dépendent notre façon d'apprécier la vie...
C'est l'histoire de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine par exemple, ou les conclusions de bonheur ou de malheur qu'on jette à une situation imprévue, c'est le changement de programme de dernière minute que l'on prend comme une bonne occasion de découvrir autre choses, ou au contraire qui nous agace à tel point que plus rien n'a d'importance.

Il faut dire aussi que sur ce coup-là, Bouddha n'est peut-ê tre pas le meilleur exemple. C'est vrai qu'il est resté longtemps assis sous un arbre à penser....Du coup, c'est normal qu'il ait ce genre de réflexions, il n'avait pas grand chose d'autre à mettre en balance avec la pensée...
Mais il n'est pas le seul à l'avoir dit, Marc Aurèle pour sa part disait " Ce sont les pensées d'un homme qui déterminent sa vie." Et tant d'autres encore... Leur point commun ? Avoir compris la force de la pensée, qu'il ne faut plus voir comme une onde passive, mais comme une énergie créatrice.

Je vous laisse méditer là-dessus, au moins ça vous occupera les pensées... ...


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26 juin 2007 2 26 /06 /juin /2007 23:39

 

J'ai trouvé aujourd'hui, par hasard, un petit livre fort sympathique : "Be happy" de Deb Koffman. Il s'agit en fait de petites phrases illustrées par quelques dessins très dépouillés, mais d'une justesse incroyable... C'est tout simplement génial qu'avec quelques mots et des dessins facilement exécutables, elle arrive à forcer la réflexion...

Le langage y est très simple, mais les pistes de réflexion, nombreuses...
Il faut aussi noter la complémentarité entre les mots et les dessins, le tout agrémenté d'humour...

" Introduction

Le propos de ce livre est de vous aider à vous dépasser. Dans vos projets créatifs, votre travail, vos relations humaines, votre vie.
Il vous suggère une nouvelle manière de penser, en portant un regard positif sur votre vie actuelle et sur la personne que vous êtes. Il vous propose d'élargir votre champ de vision et de vous aider à discerner les vraies valeurs.
Quand vous ne saurez que faire, où aller ou que dire...
Ces dessins vous inspireront peut-être pour agir... à votre manière, à nulle autre pareille.
Ce livre se lit, se regarde dans l'ordre qui vous chante, ou se feuillette au choix.
Savourez chaque page, vivez-la, aussi souvent que le coeur vous en dit."

http://www.debkoffman.com/debland/index.html

Et si le bonheur, c'était aussi simple que ça, hein ? ...

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26 juin 2007 2 26 /06 /juin /2007 01:28


Certaines personnes sont vivantes seulement parce que c'est illégal de les tuer...

J'ai essayé de payer mes impôts avec le sourire... Ils préfèrent un chèque !

Même avant l'apparition du string, on avait tous deux fesses !




Si tu téléphones à une voyante, et qu'elle ne décroche pas avant que ça sonne : raccroche vite !

Il faut deux ans pour apprendre à parler, et toute une vie pour apprendre à se taire.


Proverbe asiatique : " Si tu as le nord devant toi, tu as forcément le sudoku !"

Les malheurs des autres nous sont indifférents, à moins qu'ils nous fassent plaisir.





Trop de couples se marient pour le meilleur ou pour le pire, mais pas pour de bon .

C'est parce que la fortune arrive en dormant qu'elle met si longtemps.

Personne n'écoute... jusqu'à ce que vous fassiez une erreur.




Sans l'humour, que vaudrait la vie, hein ??... ...

 


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26 juin 2007 2 26 /06 /juin /2007 00:55

" Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l'argent, mais avec de l'amour."
Mère Thérésa



On fait trop souvent la séparation entre le corps physique et le psychisme, dans le traitement des maladies. Tout ce que l'on n'arrive ni à soigner, ni à comprendre, n'ayant aucune cause organique justifiée, est classé dans la rubrique "maladies psychosomatiques". Cette rubrique sous-tend toujours un peu que la personne ne fonctionne pas parfaitement au niveau mental...
Cette conception de la médecine me semble un peu limitative...

Il est vrai que la relation entre le corps et l'esprit est très forte, beaucoup plus importante que l'on veut bien le reconnaître. Nul ne peut ignorer le lien entre les maladies courantes et notre état de fatigue psychique et inversement la fatigue morale que génèrent certaines maladies récurrentes ou longues. On ne peut en fait, pas dissocier le corps et l'esprit. C'est un peu le principe de la médecine chinoise qui prend en compte les flux d'énergie dans le corps via les méridiens.

Le célèbre pharmacien Emile Coué a prouvé ces dires toute savie, en utilisant la force de l'auto-suggestion pour guérir ses patients. Il est ainsi devenu le père du placebo tout à fait par hasard. Il aurait pu être canonisé par l'Eglise s'il avait vécu à une autre époque, tant certaines guérisons spectaculaires auraient pu être assimilées à des miracles. Il a ainsi prouvé la supériorité de l'imagination sur la volonté. Il est bien regrettable que l'histoire n'ait retenu de lui que cette phrase : " Je veux donc je peux", car elle contredit totalement toute sa thèse...

Il est vrai que de nombreuses maladies ne peuvent pas être soignées avec de l'argent ou des moyens plus importants, mais par l'amour et l'amitié. La maladie a tendance à nous affaiblir aussi dans notre dignité d'être humain, et le réconfort de la chaleur humaine fait ses propres miracles, en nous faisant redevenir un objet d'attentions, un être qui a son importance malgré sa faiblesse.


Sur son lit d'hôpital, une vieille dame attendait chaque matin et chaque soir l'infirmière qui venait lui délivrer ses remèdes... Elle l'attendait avec impatience, parce qu'elle savait que son mal s'estomperait un peu quand arriveraient ses remèdes... et les quelques mots gentils de l'infirmière. Elle souffrait d'un cancer sans guérison possible, mais après les mélanomes, ce qui la rongeait le plus, c'était l'indifférence, la solitude et l'inutilité de sa vie... Les remèdes soulageaient sa douleur physique, mais ce qui la maintenait en vie, c'était le rire de l'infirmière et la fraicheur de sa main quand elle lui palpait le front avant de prendre sa température...

Nous vivons dans une indifférence polie qui nous emmure tous sur nos petits îlots d'égoïsme, nous cherchons à acquérir tant de biens matériels et si peu à nous enrichir de l'intérieur. Nous croyons que le but de la vie est d'obtenir des choses, alors que ce que nous devrions faire, c'est donner... donner de nous, donner ce que l'on a en soi... et accepter de recevoir aussi tout ce que les autres ont à donner...

Est-ce qu'il faut attendre qu'on ait un cancer en phase terminale pour comprendre ça ?... ...

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25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 15:56

"Chacun a raison de son propre point de vue,
mais il n'est pas impossible que tout le monde ait tort"

Gandhi



Nous vivons tous dans nos petits mondes particuliers et uniques,
façonnés pour l'essentiel par notre façon de regarder et ressentir les choses. Ce sont nos facultés de perception qui nous font apprécier la vie, de ce fait, il n'existe pas deux personnes capables de vivre la même vie ni de ressentir les mêmes choses exactement. On peut être en phase sur certains évènements, ou ressentir les mêmes émotions à des moments particuliers, mais sur toute une vie, chacun a sa façon unique de ressentir et construire sa vie.


Qui peut prétendre savoir à la place de quelqu'un d'autre, ce qu'il est bon ou juste de faire ou de penser ?
Qui peut prétendre être si "ouvert" aux autres, qu'il pourrait affirmer sans se tromper qu'il a raison et l'autre tort ?
Non. Il ne faut pas se laisser impressionner par ces personnes tellement sûrs de savoir à notre place de quoi on a besoin, ce que l'on ressent, ou ce que l'on comprend du sens de la vie. Nos ressentis, nos émotions, nos doutes... ne sont qu'à nous. Nous avons parfois le tort de chercher conseil auprès de quelqu'un quand nous nous sentons un peu perdus, un peu décalés, un peu dans le flou... Mais il faut cesser de céder à ces habitudes infantiles, nous avons tous en nous, un conseiller efficace si on veut bien le laisser s'exprimer...

Qui est ce fameux conseiller ?
En donner une définition me serait impossible en quelques mots. Pour certains, qui ont la foi, ils l'identifieront à Dieu, pour d'autres, il sera l'expression d'un ange gardien qui veille sur leurs vies, d'autres encore y verront la manifestation d'une force spirituelle ... ou de leur moi profond. Mais la définition n'est pas importante, ce qu'il faut c'est arriver à ressentir cette force en soi, et faire confiance.... Faire confiance à la vie... Quand on voit tout en noir, la vie se déroule en dégradés de gris, mais quand on a l'espoir qui nous porte, tout s'éclaire de nouvelles couleurs. On se sent fort de cet Esprit en nous qui saura nous faire prendre les bonnes décisions... même si beaucoup n'y croient pas...


Peu importe d'avoir tort ou raison aux yeux du monde, quand on sait, de l'intérieur, qu'on marche dans la bonne direction. Ceux qui savent toujours tout et qui parlent beaucoup, qui n'ont jamais tort, et qui comprennent tout tellement mieux, qui ont toujours un avis sur tout, qui nous font douter par leurs certitudes si ancrées, qui nous font croire qu'on n'a rien compris à la vie parce qu'on la vit différemment... Tous ceux là, qui nous font du mal à force de vouloir nous faire du bien... peut-être qu'ils ont raison de leur point de vue, c'est vrai... Mais on a le droit de regarder autrement les choses, et en changeant d'angle, on change toute la donne....

N'ayez plus peur d'avoir tort quand vous savez que vous avez raison...

Ne culpabilisez pas de penser d'une façon qui puisse choquer quelques puritains du conformisme, nous avons tous le droit de vivre selon nos codes à partir du moment où l'on respecte les autres, que l'on se respecte soi-même, et que l'on assume les conséquences de ses actes...

Le reste, ce sont des choix de vie, qui ne sont pas à juger...

Ceci étant dit, nous avons le droit de penser, et d'avoir des opinions, mais il ne faut pas croire pour autant que nous détenons la vérité... La vérité, je ne sais pas si elle existe... Je pense qu'on a tous... notre vérité. Et parfois... on n'a pas envie de la partager. Ce n'est pas de l'égoïsme, c'est juste une conséquence de l'incompréhension et de la pensée sectaire qu'on rencontre le plus souvent quand on sort un peu de la norme.
Pourquoi est-ce si important d'avoir tort ou raison ?
Ne peut-on pas juste apprécier le degré de satisfaction que nous apporte notre système de pensée, sans vouloir l'instaurer en système unique ?


Si ce soir, en tête à tête avec vous-mêmes, vous faisiez le point sur votre vie, revoyant vos réussites et vos échecs les plus importants, est-ce que vous arriveriez à retrouver vos ressentis correspondants à ces évènements ?
Auriez-vous le même regard porté sur ces évènements maintenant passés ?
Je ne pense pas... parce que la vie nous change... chaque jour...

A l'époque, vous étiez persuadés d'avoir raison, ou tort d'ailleurs peu importe, mais aujourd'hui ... dans la même situation ... ?
Ne jugez pas sans savoir, et laissez vivre les autres comme ils l'entendent, même si cela vous indispose. Comme dit un proverbe arabe "Qui ne se plante jamais, n'a aucune chance de pousser..."

Pensez-vous que sur ce point, j'ai raison ou j'ai tort ? ...

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24 juin 2007 7 24 /06 /juin /2007 23:29

" Donne aux gens plus que ce qu'ils attendent... et fais-le avec goût

Lorsque tu dis "je t'aime"... dis-le sérieusement
Lorsque tu dis "je suis désolé"... regarde la personne dans les yeux

Ne te moque pas des rêves des autres...
Tu peux en sortir blessé, mais c'est la seule façon de vivre la vie.

Ne juge pas
les autres à travers leurs proches
Parle lentement,mais ... réfléchis rapidement

Si quelqu'un te pose une question à laquelle tu ne souhaites pas répondre,
Souris et demande : "Pourquoi souhaites-tu savoir?"

Rappelle-toi que le plus grand amour et les plus grands succès...
Comportent des risques majeurs
Quand tu perds, ne perds pas la leçon

Rappelle-toi les trois R :
Respect envers toi-même, Respect des autres, Responsabilité de tes actions

Ne permet pas qu'un petit différend, abime une grande amitié.
Souris lorsque tu réponds au téléphone... celui qui t'appelle le sentira au son de ta voix.
Lis entre les lignes...

Et rappelle-toi que :
Ne pas obtenir ce que tu veux, quand tu veux, est parfois un coup de chance...."

trouvé sur www.naute.com


S
i ça se trouve, en faisant tous quelques efforts... on arriverait à changer le monde, hein ?... ...

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24 juin 2007 7 24 /06 /juin /2007 23:11


" Rire, c'est risquer d'avoir l'air idiot...
Pleurer, c'est risquer d'avoir l'air émotif...
Aller vers l'autre, c'est risquer de s'impliquer
Exprimer ses sentiments, c'est risquer d'exposer le fond de soi-même

Faire part de ses idées et de ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre...
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour...
Vivre, c'est risquer de mourir
Essayer, c'est risquer d'échouer

Mais il faut prendre des risques,
Parce que le plus grand danger dans la vie, c'est de n'en prendre aucun


Les gens qui ne risquent rien, ne font rien, n'ont rien, n'obtiennent rien...
Peut-être évitent-ils la souffrance et la peine, mais ils ne peuvent
Ni apprendre, ni sentir, ni changer, ni grandir, ni ... vivre.

Ce sont des esclaves enchaînés par leurs attitudes
Ils ont perdu leur liberté
Seul, celui qui risque est libre...

On ne peut pas toujours changer ce que l'on affronte,
Mais...
On ne peut jamais changer ce que l'on n'affronte pas !
"
Anonyme, glané sur le net...



Et à risquer de courir un risque... on risque quoi ?... ...

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24 juin 2007 7 24 /06 /juin /2007 01:39


" Ne crains pas d'avancer lentement, crains seulement de t'arrêter."
Proverbe chinois




On pourrait traduire par "Ne perds jamais tes buts de vue..."
En effet, définir ses buts précisément et oeuvrer ensuite du mieux que l'on peut pour les réaliser, semble être essentiel.
Mais il faut aussi savoir faire preuve de patience et de persévérance, ne pas abandonner, ne pas s'arrêter sur le chemin... même si parfois il écorche les pieds... continuer...
Peu importe la distance que l'on parcourt en un jour, en un mois... chaque but est unique et entraîne des chemins différents, des orientations différentes, un rythme différent en fonction des personnes et des conditions...
Ce qui compte, c'est de le sentir briller devant nous, comme une lumière qui éclairerait nos pas... Et vouloir s'en approcher au plus près... Sans tenir compte du temps, de l'effort ou du moment...
S'arrêter, abandonner... s'abandonner... c'est triste, cela peut même entâmer l'estime de soi si on s'était beaucoup investi dans le but...
C'est accepter l'échec comme une fin en soi
, au lieu d'y voir un tremplin pouvant donner une nouvelle dimension aux choses.


Ce qui nous freine sur le chemin de nos buts, c'est souvent la crainte, la peur.
.. la difficulté de la tâche, ou la patience dont il faut faire preuve... Mais comme disait Paulo Coelho "Ce qui peut rendre un rêve imposible à réaliser, c'est la peur d'échouer."

Mais l'échec n'est pas négatif, mais au contraire très formateur, si l'on veut bien se montrer humble devant lui. Il met en lumière les choses que l'on peut encore améliorer, il offre de nouvelles pistes de réflexion, il adoucit les caractères un peu trop orgueilleux...
Il peut nous donner l'envie de tout lâcher, de s'arrêter de croire en nos capacités à atteindre nos buts, bien sûr aussi... Mais... quand on lui donne sa chance et qu'on reconnaît sa valeur véritable, il nous donne un vrai coup de fouet pour rebondir, et on repart plus fort encore, parce que riches d'une nouvelle leçon qu'on aura su tirer...

Alors avec une énergie toute neuve, le mental revigoré par un petit nettoyage de fond, on peut repartir le coeur léger de nos espoirs pour tout bagage, et l'envie de continuer... de continuer encore... jusqu'au bout du bout qu'on pourra atteindre...
On a chacun notre bout du but avec notre but au bout....

N'oubliez jamais
que dans la poursuite de nos buts, ce n'est pas seulement le fait de les atteindre qui compte... mais tout ce qu'on apprend en chemin pour surmonter cette épreuve, et toute la richesse que l'on acquiert ainsi... chemin faisant... d'un pas pressé ou nonchalant... selon les gens, selon les moments....


D'ailleurs, à ce propos, connaissez-vous des services de covoiturages pour ces trajets-là ?... ...

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